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Le Blog Neurozen

Le Dr Karl H. Pribram, neurochirurgien et professeur de psychologie et de psychiatrie à l'université
par V Heuzé 11 oct., 2023
Dr Karl H. Pribram (1999) distingue l'esprit comme un processus émergent du cerveau et du SNC, et non comme une chose. Pour lui, nos sens s'entendent pour créer l'illusion du monde qui nous entoure...
Les Croyances limitantes
par Véronique Heuze 08 juin, 2023
Les croyances jouent un rôle central dans notre vie. Elles sont formées par notre éducation, nos expériences et notre culture, et elles influencent profondément notre pensée et nos actions. Certaines croyances sont bénéfiques, tandis que d'autres peuvent être limitantes et entraver notre bien-être et notre croissance. Cependant nous pouvons développer des stratégies pour défier nos croyances limitantes.
par Véronique Heuze 20 mars, 2023
Le cerveau est un organe incroyablement complexe et puissant qui traite les stimuli sensoriels avec un certain retard, ce qui signifie que notre expérience de la réalité n'est pas réellement "immédiate". En outre, le cerveau crée un modèle de la réalité basé sur nos entrées sensorielles, notre expérience est par conséquent fondamentalement subjective. Ces facteurs façonnent notre expérience du monde et en en prenant conscience, nous pouvons mieux comprendre nos propres pensées et sentiments. Les phénomènes qui créent l'expérience : La plupart de nos expériences sont des phénomènes simultanés, superposés, incessants et permanents. Une expérience est le résultat de la perception, de l'interaction et de l'interprétation de divers facteurs, tels que les stimuli sensoriels, les émotions, les pensées et les interactions avec le monde extérieur. Le système nerveux joue un rôle clé dans la gestion du phénomène d'expérience puisqu’il régule nos fonctions, nos émotions, prend des décisions et contrôle nos comportements. Les processus sont très complexes mais on peut les décomposer de manière simplifiée afin de mieux saisir leurs rôles; les entrées sensorielles, les expériences immédiates, l'émergence de pensées et les interprétations associées créent notre expérience. Cependant il faut bien comprendre que ces processus ne sont pas en réalité une suite séquentielle et ordonnée mais plutôt des phénomènes complexes concomitants. L'entrée sensorielle se réfère aux informations captées par les sens (par exemple, la vue, l'ouïe, le toucher, le goût, etc.) qui sont ensuite traitées par le cerveau. La perception immédiate de l'expérience telle qu'elle se présente à nous ou « expérience immédiate » se réfère aux premières impressions qui résultent de cette entrée sensorielle. Nous donnons un nom ou une étiquette à cette expérience et la classons dans une catégorie. L'étiquetage et la catégorisation est le processus par lequel le cerveau identifie et classe l'information sensorielle en fonction de ce qu'il sait déjà. Par exemple, si vous voyez un objet pour la première fois, votre cerveau essaiera de le catégoriser en fonction des informations qu'il a déjà sur les objets similaires. Et enfin l'émergence de pensées et d'interprétations associées, où nous interprétons l'expérience en fonction de nos croyances, nos opinions et nos souvenirs. Elle se produit lorsque le cerveau commence à traiter les informations sensorielles étiquetées et catégorisées pour en faire des pensées et des idées plus complexes. Cela peut inclure des souvenirs, des émotions et des réflexions personnelles sur l'information sensorielle. Ce processus d’émergence est appelée "formations" dans la philosophie bouddhiste, il fait référence aux tendances conditionnées qui façonnent notre existence, notre expérience et notre comportement. C'est au cours de ce phénomène que nous nous laissons entraîner dans des préoccupations et des pensées autoréférentielles, et c’est là que se produit la plus grande partie de nos souffrances. Nous vivons dans le passé. Le cerveau humain traite les informations sensorielles à différentes vitesses en fonction du type de stimuli. De plus, une fois que le cerveau a traité une information sensorielle, il faut également du temps pour que cette information atteigne notre conscience. Ce processus de transmission de l'information du cerveau à la conscience prend également un certain temps. En conséquence, même si ces délais sont très courts (de l'ordre de quelques millisecondes), notre perception de la réalité est toujours légèrement décalée par rapport à ce qui se passe réellement dans le monde. Cela signifie que nous vivons essentiellement dans le passé, car notre perception du présent est en réalité le reflet d'un événement qui s'est produit il y a quelques millisecondes. Cela peut nous entraîner dans des préoccupations et des pensées autoréférentielles, ce qui conduit à la souffrance. C'est au cours de la quatrième étape de l'expérience que nous avons tendance à nous attarder sur le passé et à nous inquiéter de l'avenir, créant ainsi des formations mentales qui peuvent devenir des sources de stress et d'anxiété. Pourquoi vivre dans le présent ? La plupart de nos souffrances viennent du fait que nous nous préoccupons du passé ou de l'avenir, mais vivre dans le moment présent peut contribuer à réduire la souffrance et nous aider à faire une expérience plus précise de la réalité. Lorsque nous parvenons à nous défaire des formations mentales qui créent la souffrance et à rester présents dans le moment présent, nous pouvons faire l'expérience du monde de manière plus complète et sans l'interférence de nos propres préjugés et croyances. Neuroptimal® et l’instant présent : Le système de neurofeedback dynamique Neuroptimal® a été créé dans le but d'aider les individus à réduire leurs souffrances physiques, émotionnelles et mentales. Les créateurs de Neuroptimal®, les docteurs Sue Brown, PhD et Val Brown, PhD ont utilisé leurs expertises en psychologie, neurosciences, mathématiques et physique pour développer une méthode de neurofeedback qui permet aux individus de réguler leur activité cérébrale et de réduire leur souffrance sans effort et sans pousser le cerveau dans une direction particulière. L'un des avantages de Neuroptimal® est qu'il peut aider le cerveau à se concentrer sur le moment présent en fournissant une rétroaction immédiate lorsqu'il détecte des signes d'activité cérébrale qui suggèrent que l'esprit se perd dans des pensées passées ou futures. Les signaux sonores de Neuroptimal® interrompent doucement les modèles de pensée en cours et aident le cerveau à revenir au moment présent ( jusqu'a 256 fois par seconde!). La rétroaction fournie par Neuroptimal® est non directive, ce qui signifie qu'elle n'impose pas d'objectifs ou de changements spécifiques au cerveau. Au lieu de cela, elle permet au cerveau de s'auto-réguler en fournissant des informations en temps réel sur son propre état d'activité. En aidant les individus à réguler leur activité cérébrale, Neuroptimal® peut aider à améliorer la qualité de vie globale. Cependant, il est important de noter que le neurofeedback dynamique ne remplace pas les soins médicaux professionnels et ne doit pas être considéré comme un traitement de première ligne pour les troubles mentaux ou neurologiques, ou tout autres maladies. Cependant Neuroptimal® étant non-invasif, il peut être utilisé par tout le monde y compris les personnes malades car il peut aider les individus à améliorer leur fonctionnement cognitif, émotionnel et physique quelle que soit la situation. Les entrainements peuvent conduire à une plus grande clarté mentale, une meilleure capacité de prise de décision, une réduction du stress et de l'anxiété, et une amélioration de la qualité de vie globale. En conclusion, le cerveau est un outil imparfait pour interpréter la réalité, et nos expériences sont subjectives et souvent façonnées par nos propres formations mentales. En gardant à l'esprit que nos experiences sont construites chaque instant et que notre perception de la réalité est en décalage par rapport à la réalité, nous pouvons prendre de la distance vis à vis de nos pensées et de nos expériences et ne pas nous laisser piéger par des aspects qui n'ont pas forcément grand-chose à voir avec nous. Cependant, en comprenant les formations de l'expérience et en reconnaissant les moments où nous sommes pris dans des préoccupations et des pensées autoréférentielles, nous pouvons apprendre à lâcher nos formations mentales et à faire une expérience plus complète du monde dans le moment présent. Le neurofeedback dynamique Neuroptimal® est une neuro technologie de pointe qui peut aider votre cerveau à mieux s'auto-réguler et à mieux profiter de chaque instant pleinement.
par Véronique Heuze 12 mars, 2023
Votre système nerveux central (SNC) est l'un des systèmes les plus complexes et vitaux du corps humain. Il est responsable de la régulation et de la coordination de toutes nos fonctions corporelles, de notre rythme cardiaque et de notre respiration à nos pensées, émotions et mouvements. Le SNC est composé du cerveau, de la moelle épinière et des nerfs, qui travaillent ensemble pour traiter l'information et envoyer des signaux dans tout le corps. Malgré son rôle crucial, de nombreuses personnes peuvent ne pas réaliser l'importance de prendre soin de leur SNC. Dans cet article de blog, nous explorerons pourquoi il est essentiel de prioriser la santé de notre SNC et ce que nous pouvons faire pour soutenir un système nerveux central sain.
par Véronique Heuze 10 févr., 2022
Pour commencer, cela dépend de votre point de départ, du nombre d'entraînements que vous faites par semaine et de votre objectif final. Les exigences sont très différentes d'une personne à l'autre. La clé est de ne pas aborder vos objectifs d'entraînement en termes de nombre de sessions à effectuer ou de l'aspect différent que pourrait avoir votre cerveau sur un rapport graphique. Le système nerveux central de chacun étant différent, il n'est pas possible de prédire exactement comment votre cerveau réagira aux informations fournies par NeurOptimal® et donc de prescrire à l’avance un nombre de sessions. Vous devez aborder les sessions avec l'état d'esprit d'optimisation globale du fonctionnement de votre cerveau sans vous focaliser uniquement sur la problématique qui vous a amenée à commencer vos entraînements, mais plutôt en restant attentifs à tous changements. Cette approche peut sembler étrange au début, mais il faut savoir que les diverses difficultés dont nous souffrons tous peuvent être considérées comme des signes que le cerveau ne fonctionne pas à son niveau optimal. Et peu importe que vous soyez à la recherche de changements au niveau physique, émotionnel ou mental - vous n'avez qu'un seul cerveau et il affecte tout votre corps. Même si vous avez une seule raison d'utiliser NeurOptimal®, des changements positifs peuvent apparaître dans tous les domaines de votre vie. 
 En quelque mots: Ne vous mettez pas la pression en vous focalisant sur une seule problematique et adoptez une attitude ouverte et observatrice.
par V. Heuzé 10 juin, 2021
Comment fonction le Dynamical Neurofeedback®?
par V. Heuze 07 mai, 2021
Comment NeurOptimal® a été développé afin d'intégrer la diversité de toutes les autres approches existantes du neurofeedback, dans une approche cohérente et élégante à la pointe de la science et qui s'appuie sur le caractère non-linéaire, dynamique et la nature intrinsèque d'auto-organisation du système nerveux central.
par Véronique Heuze 21 mars, 2021
Article publié sur le blog NeurOptimal®
par Véronique Heuze 28 janv., 2021
Le stress peut être défini comme étant simplement "la réponse du cerveau à toute demande". Selon cette définition, tout stress n'est pas mauvais. Il est simplement une réponse d’adaptation naturelle de l’organisme face à tout stimulus qu’il soit intrinsèque ou extrinsèque. Les réponses compensatoires à ces stress sont connues sous le nom de ‘réponses au stress’. L’inquiétude, la peur constante, l'anxiété, le désespoir, la dépression, les pensées récurrentes… sont des réponses au stress. Selon le type, le moment et la gravité du stimulus appliqué, il peut exercer diverses actions sur l'organisme allant de l'altération de l'homéostasie à des effets mettant la vie en danger. Il peut faciliter ou entraver nos fonctions de nombreuses façons, le résultat dépendant d'une combinaison de facteurs liés à la fois au stress et à la fonction étudiée. Parmi les facteurs identifiés comme particulièrement pertinents pour définir les effets cognitifs ou physiologiques du stress figurent son intensité ou son ampleur, son origine et sa durée, c'est-à-dire s'il est ponctuel, aigü ou chronique. Il faut également garder en tête que chaque individu et chaque système nerveux est unique et qu’en plus de ces principes généraux, il existe d'importantes différences individuelles dans l'impact du stress, le sexe et l'âge étant des facteurs particulièrement influents. LE STRESS, UN SIGNAL D’ALERTE Lorsqu'une personne vit un événement stressant, l'amygdale, une zone du cerveau qui contribue au traitement des émotions, envoie un signal de détresse à l'hypothalamus. Cette zone du cerveau fonctionne comme un centre de commande, communiquant avec le reste du corps par le biais du système nerveux afin que la personne ait l'énergie nécessaire pour combattre ou fuir. Il opère par une réaction en chaine: l’amygdale, active notre système central de réponse au stress connu sous le nom d'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HPA) car il est composé de l'hypothalamus, de l'hypophyse et du cortex surrénalien. Ce système de réponse au stress régule les hormones, en particulier l'hormone du stress, le cortisol. En augmentant rapidement les niveaux de glucose, en accélérant le rythme cardiaque et en augmentant le flux sanguin vers les muscles de nos bras et de nos jambes, ce mécanisme nous permet de répondre à une menace. LE BON STRESS Il prend différentes formes. Certains stress sont le résultat d'un événement ponctuel et de courte durée comme par exemple, un entretien d'embauche un examen ou une compétition sportive. Dans ce cas il peut améliorer les capacités et devenir un puissant stimulant. Le rythme cardiaque s’accélère, la tension artérielle et musculaire augmentent, ainsi que les taux d'adrénaline et de cortisol. Lorsque l'événement stressant est terminé, le taux de cortisol chute et l'organisme retourne en stase. Ce stress à court terme est bénéfique. Chez l’animal ,il alimente la réaction instinctive de “Lutte ou fuite” qui leur permet de réagir rapidement face à un danger. Chez l’homme il permet une adaptation rapide à une situation inhabituelle ou dangereuse. D’un point de vu cognitif, l’opinion qui se dégage est qu'un stress léger tend à faciliter la fonction cognitive, en particulier dans la mémoire implicite ou les tâches déclaratives simples ou lorsque la charge cognitive n'est pas excessive. LE STRESS AIGÜ Un stress aigu peut entraîner des réactions émotionnelles (peur, colère..), physiologiques (augmentation de la pression artérielle, palpitations et tremblements…) et cognitives (pensées négatives sur soi…), ce qui entraîne une baisse de l'attention et de l'état énergétique. Ces diminutions ont tendance à empêcher une personne à se concentrer pleinement sur la tâche en cours. Cette réaction de combat ou de fuite encourage la survie grâce à des réactions automatiques qui déclenchent un comportement rapide et automatique mais qui fonctionne largement en dehors du contrôle cognitif . Cela peut être bénéfique lorsque le temps manque pour délibérer sur des tâches ou des décisions complexes où il peut être approprié de "tirer d'abord et parler ensuite", mais ce n'est pas idéal pour effectuer des tâches compliquées ou prendre des décisions difficiles. Il est connu qu'un stress sévère durant des semaines ou des mois peut altérer la communication entre les cellules dans la région d'apprentissage et de mémoire du cerveau, mais les chercheurs ont découvert qu'un stress de courte durée, ne durant que quelques heures, peut altérer la communication entre le cerveau et les cellules dans les régions associées à l'apprentissage et à la mémoire. L'exposition à un stress élevé ou très élevé de manière aiguë ou chronique entrave la formation de souvenirs explicites et, plus généralement, de ceux qui nécessitent un raisonnement complexe et souple tout en améliorant les performances de la mémoire implicite et des tâches répétitives. LE STRESS CHRONIQUE Lorsque des conditions récurrentes comme la gestion d'une maladie de longue durée ou d'un travail exigeant, provoquent un stress à la fois intense et prolongé, on peut parler de stress "chronique". Alors que tout stress déclenche des réactions physiologiques, le stress chronique est spécifiquement problématique en raison des dommages importants qu'il peut causer au fonctionnement du corps et du cerveau. En effet, lorsque le stress devient chronique, ce système est sans cesse amplifié et amène notre cerveau, notre système nerveux et notre comportement à s'adapter à un état de vigilance et de réaction. Cette vigilance constante peut conduire à des conditions de santé mentale et physique dévastatrices pour la personne qui en fait l'expérience. Les mêmes hormones qui sont si importantes pour la réaction de lutte ou de fuite peuvent avoir des répercutions physiologiques et cognitives très négatives. Les niveaux élevés de cortisol affaiblissent la capacité du cerveau à fonctionner correctement. Selon plusieurs études, le stress chronique altère le fonctionnement du cerveau de multiples façons. Il peut perturber la régulation des synapses, il peut tuer les cellules du cerveau et même réduire la taille du cerveau. Le stress chronique a un effet réducteur sur le cortex préfrontal, la zone du cerveau responsable de la mémoire et de l'apprentissage. Il peut augmenter la taille de l'amygdale, ce qui rend le cerveau encore plus réceptif au stress. Le cortisol crée un effet domino en câblant les voies entre l'hippocampe et l'amygdale de telle sorte qu’il crée un cerveau qui devient prédisposé à être dans un état constant de lutte ou de fuite. Le stress chronique n'entraîne pas seulement une altération des fonctions cognitives. Il peut être un facteur déclenchant ou aggravant pour de nombreuses maladies et états pathologiques: risque accru de maladie cardiaque, d'hypertension et de diabète. D'autres systèmes du corps cessent également de fonctionner correctement, notamment les structures digestives, excrétrices et reproductives. Il peut également affaiblir le système immunitaire de l'organisme et exacerber toute maladie pré-existante. LE STRESS EST TRANSMISSIBLE! Un autre effet délétère du stress est moins connu: Le stress des parents affecte leur descendance. L'hypothèse selon laquelle la descendance est affectée par le traumatisme ou le stress des parents, d'abord notée de manière anecdotique, est maintenant soutenue empiriquement par les données des cohortes de descendants des survivants de l'Holocauste et d'autres populations. Ces résultats ont été étendus à des formes moins extrêmes de stress, où des résultats physiques, comportementaux et cognitifs différents sont observés chez les enfants affectés. Les effets du stress parental sur la descendance pourraient être expliqués par la génétique ou la théorie de l'apprentissage social. Par ailleurs, les variations biologiques découlant de l'exposition au stress des parents pourraient avoir un impact plus direct sur la descendance. Cette transmission intergénérationnelle a lieux par la modifications des gamètes et de l'environnement utérin gestationnel. Les descendants de parents exposés au stress ou aux traumatismes peut être plus exposés à des problèmes physiques, comportementaux et cognitifs, ainsi qu’aux psychopathologies. Les effets du stress qui sont hérités par un mode de transmission intergénérationnelle se reflètent dans les changements biologiques de la descendance, y compris les changements neuroendocriniens, épigénétiques et neuroanatomiques. GERER LE STRESS L'impact du stress est sérieux et ne doit pas être pris à la légère, c'est pourquoi il est important de prendre un certain nombre de mesures afin de le gérer: Reconnaître les signes : Une personne peut être si anxieuse face au problème à l'origine du stress qu'elle ne remarque pas les effets sur son corps. Il est important d'être attentif à tout changement. Les activités sportives ont un effet bénéfique sur le stress : Le sport déclenche dans l’organisme la production d’hormones appelées endorphines. Ces hormones provoquent chez l’individu une telle sensation de bien-être qu’une véritable dépendance peut s’installer. Le sport oblige également à se concentrer sur autre chose que ses idées noires, son travail ou ses ennuis domestiques. Il permet d’avoir des moments pour soi-même, en dehors des tracas de la vie quotidienne. Réduire la consommation d'alcool et de caféine : Ces substances n'aident pas à prévenir le stress et peuvent même l'aggraver. La nutrition : Une alimentation saine et équilibrée, contenant beaucoup de fruits et de légumes, peut aider à maintenir le système immunitaire en période de stress. Une mauvaise alimentation peut entraîner une mauvaise santé et un stress supplémentaire. Le Sommeil : Veiller à avoir un sommeil suffisant et de qualité. Les troubles du sommeil surviennent naturellement en réaction au stress, mais inversement, les troubles du sommeil peuvent également être une cause de stress. Un bon sommeil favorise le fonctionnement psychologique, notamment en améliorant la régulation émotionnelle et les processus cognitifs tels que la concentration, l'attention et la mémoire. Un bon sommeil est également bénéfique pour la santé physique générale. Gestion des priorités : Il peut être utile de consacrer un peu de temps à l'organisation d'une liste de tâches quotidiennes et de prioriser les tâches urgentes. Ce qui permet alors de mieux réaliser les accomplissements plutôt que de rester sur les tâches à accomplir. Le temps : Les gens devraient se réserver un peu de temps pour organiser leur emploi du temps, se détendre et poursuivre leurs propres intérêts et leurs propres plaisirs. Respiration et détente : La méditation, le massage et le yoga peuvent aider. Les techniques de relaxation peuvent ralentir le rythme cardiaque et favoriser la détente. La respiration profonde ou encore la variation cardiaque sont des techniques très efficaces. Parler : Partager ses sentiments et ses préoccupations avec sa famille, ses amis et ses collègues de travail peut aider une personne à "se défouler" et à réduire son sentiment d'isolement. Entraîner son cerveau avec le Neurofeedback non-linéaire : Lorsque le cerveau est entraîné avec le neurofeedback NeurOptimal®, il apprend à réduire potentiellement la réponse au stress de manière naturelle. Le logiciel NeurOptimal@ utilise la technologie de deuxième génération appelée "neurofeedback dynamique". Cela signifie que chaque cerveau reçoit un retour d'information en temps réel sur ses propres schémas adaptés ou mal-adaptés, dont le plus courant est la réponse au stress. Le cerveau entraîné peut alors se corriger et se réorganiser. D’autre part, le cerveau a besoin d'une grande souplesse car il passe sans cesse d'un mode de fonctionnement à l'autre. Une concentration intense nécessaire à l’accomplissement d’une tâche ne nécessite pas les mêmes resources que pour lors du sommeil par exemple. Il est donc nécessaire que le cerveau s’adapte en permanence à chaque tâche, la flexibilité est donc primordiale. NeurOptimal® entraîne votre cerveau à être plus flexible et plus résilient et donc moins stressé. Sources: Short-term Stress Can Affect Learning And Memory https://www.sciencedaily.com/releases/2008/03/080311182434.htm Stress and Cognition https://www.researchgate.net/publication/264297142_Stress_and_Cognition Concentration, stress and performance https://www.researchgate.net/publication/285675295_Concentration_stress_and_performance How stress tears us apart: Enzyme attacks synaptic molecule, leading to cognitive impairment https://www.sciencedaily.com/releases/2014/09/140918091418.htm Stress Kills Brain Cells Off https://www.scientificamerican.com/article/stress-kills-brain-cells/ How stress and depression can shrink the brain https://www.sciencedaily.com/releases/2012/08/120812151659.htm Intergenerational Transmission of Stress in Humans https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4677138/
par V Heuzé 20 juin, 2020
Au cours de notre évolution, notre cerveau a mis en place des stratégies pour résoudre des problèmes, des raccourcis de pensée spontanés et inconscients. Ces stratégies sont souvent très utiles mais elles peuvent parfois nous nuire. L’une de ces nombreuses stratégies se nomme le biais de négativité.
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